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Champs scalaires
Que sont les champs scalaires ?
Les champs scalaires électromagnétiques sont des concepts issus de la physique théorique et, bien qu'ils ne soient pas directement observables dans la nature comme les champs vectoriels classiques (électriques ou magnétiques), ils jouent un rôle important dans la modélisation de certains phénomènes physiques. Un champ scalaire est une réalité qui associe à chaque point de l'espace une valeur numérique unique, sans direction, contrairement aux champs vectoriels qui possèdent une magnitude et une direction.
Dans le contexte électromagnétique, les champs scalaires peuvent être considérés comme des extensions aux champs électriques et magnétiques traditionnels, souvent introduits dans des cadres théoriques plus avancés, comme l’électrodynamique quantique ou les théories unifiées. L’un des exemples les plus communs est le potentiel scalaire électrostatique, utilisé pour décrire l’énergie potentielle d'une charge électrique en un point donné. Dans la pratique, lorsque deux champs magnétiques ou électromagnétiques sont face à face à amplitude égale, fréquence égale et en opposition de phase, on produit un champ scalaire. On ouvre alors un espace (4e dimension) aux propriétés qui dépassent les limites et les contraintes de l'espace 3D habituel. Avec deux aimants identiques placés face à face (N sur N ou S sur S) et suffisamment proches, on fait jaillir - par compression - une énergie scalaire électromagnétique issue de cet espace.
La production d'un champ scalaire électromagnétique repose sur des configurations spécifiques de charges électriques ou de densités de courant. Ces champs peuvent être générés par des structures symétriques, comme les sphères chargées ou les distributions de charges linéaires ou par des bobines de Tesla jumelles (bobines plates ou solénoïdes) raccordées à des antennes identiques qui sont accordées et en opposition de phase (courants égaux en intensité et opposés en phase). On peut faire cela avec du bas voltage (4 à 8 volts environ) ou du haut voltage (des centaines de milliers de volts ou plus).
Les champs scalaires électromagnétiques trouvent des applications pratiques et théoriques dans plusieurs domaines. Par exemple, ils sont essentiels dans l'analyse des systèmes électrostatiques complexes ou dans le cadre de simulations numériques. En physique fondamentale, ils interviennent dans les recherches sur les théories des cordes ou l'énergie noire, où des champs scalaires hypothétiques pourraient jouer un rôle cosmologique.
Bien que leur application reste souvent encore peu connue ou limitée à des cadres spécialisés, les champs scalaires électromagnétiques offrent une perspective enrichissante en biologie cellulaire et pour comprendre et modéliser les phénomènes physiques de manière plus complète et élégante.
Nikola Tesla et l'énergie radiante
Le terme de champ scalaire n'a pas été utilisé par Nikola Tesla. Cependant, il a parlé d'énergie radiante pour bien différencier cette énergie de celle des champs électromagnétiques vectoriels ordinaires, déjà connus à son époque (voir Faraday, Maxwell et d'autres). Plusieurs des brevets de Nikola Tesla décrivent des systèmes de transmission d'énergie sans fil. L'espace compris entre les deux antennes de ce type de système symétrique produisant deux champs électromagnétiques égaux mais en opposition de phase (à bas voltage ou à haut voltage) est un espace spécial (un espace électromagnétique scalaire) dont les propriétés diffèrent de l'espace habituel (3D).
Plusieurs chercheurs des XXe et XXIe siècles ont été ou sont encore des pionniers dans le domaine théorique et pratique des champs scalaires et de leurs applications, en particulier :
Konstantin Meyl. Ingénieur et physicien allemand connu pour ses travaux sur la théorie des ondes scalaires, des champs scalaires et de leurs applications en électrodynamique. Né en 1952, le Dr. Meyl a attiré l'attention grâce à ses recherches qui remettent en question certains principes établis de la physique classique et moderne. Il s’inspire notamment des travaux de Nikola Tesla, en affirmant – par la théorie et par l’expérience - que les ondes scalaires électromagnétiques, souvent négligées par la science conventionnelle, jouent un rôle fondamental dans divers phénomènes naturels, biologiques et technologiques. Il a publié quelques livres sur ses recherches.
Le Dr. Meyl propose que ces ondes scalaires, différentes des ondes électromagnétiques transversales bien connues, sont longitudinales et possèdent des propriétés uniques, telles qu'une capacité à se propager sans perte d'énergie sur de grandes distances. Il affirme que ces ondes pourraient avoir des applications révolutionnaires, allant de la transmission d'énergie sans fil à la biophysique et à la communication à grande échelle.
Ses idées et ses expérimentations stimulent des débats sur les limites de la physique actuelle et continuent d'intéresser les chercheurs et les amateurs de technologies de pointe.
Thomas Bearden. (1930 – 2022) Il était lieutenant-colonel à la retraite, ingénieur et chercheur américain connu pour ses théories avancées sur les champs scalaires, l’énergie du vide quantique et les phénomènes électromagnétiques avancés. Diplômé en génie nucléaire, Thomas Bearden a travaillé dans le domaine militaire avant de se consacrer à des recherches indépendantes. Il a publié de nombreux ouvrages explorant des concepts en marge de la physique conventionnelle, souvent liés à des idées comme l'énergie du vide, la physique quantique et les ondes scalaires.
Bearden soutenait que les champs scalaires, qui diffèrent des champs électromagnétiques classiques, peuvent être exploités pour produire de l’énergie propre et illimitée, appelée "énergie du vide quantique". Selon lui, les champs scalaires ne sont pas une simple curiosité théorique, mais un élément clé concret pour comprendre et exploiter les forces fondamentales de l'univers. Il prétendait également que des technologies basées sur ces concepts pourraient avoir des applications révolutionnaires dans les domaines de la santé, des communications et de la défense.
Les champs scalaires peuvent ainsi être produits par annulation des champs magnétiques ou électromagnétiques (vecteur zéro, d'où le nom de scalaire). De ce fait, on accède à une nouvelle interaction utilisable et modifiable du champ gravitationnel (électro-gravitation). La quatrième dimension géométrique d'espace (3D + 1D + t') est ainsi accessible et se projette dans notre espace-temps habituel (3D + t) par annulation des vecteurs électromagnétiques (champ zéro, mais champ potentiel qui n'est pas rien). Les propriétés du temps sont également modifiées dans cet espace scalaire (contre-espace), et c'est pour quoi on note ici t et t', car t' a des propriétés différentes de notre temps ordinaire t.
Malgré les critiques et le scepticisme dont il a fait l’objet, Thomas Bearden suscite l'intérêt certain de nombreux chercheurs en nouvelles technologies et en physique de pointe, en mettant en avant des idées audacieuses sur les possibilités officiellement inexploitées de la physique moderne fondamentale.
Éric Dollard. Ingénieur et inventeur américain connu pour ses recherches originales sur l'électromagnétisme, les champs scalaires et des concepts comme le "contre-espace". Ses travaux, inspirés notamment par Nikola Tesla, explorent des aspects peu conventionnels de l’électricité et de la physique avancée, attirant l'attention des passionnés de science de pointe.
Éric Dollard s'est concentré sur l'étude et l’expérimentation des phénomènes électromagnétiques, en particulier dans le contexte des ondes longitudinales ou scalaires, qu'il considère comme une extension des principes électrodynamiques de Tesla. Contrairement aux ondes transversales classiques, les ondes scalaires se propageraient longitudinalement et seraient capables de transporter de l'énergie de manière efficace, même à travers des milieux isolants. Éric Dollard affirme, comme Nikola Tesla, que ces ondes peuvent révolutionner la transmission d'énergie sans fil et d'autres applications technologiques.
Un autre concept central dans ses recherches est celui du "contre-espace", qu'il décrit comme une réalité sous-jacente ou complémentaire à notre espace tridimensionnel. Selon Éric Dollard, ce concept pourrait expliquer certains comportements non linéaires de l'énergie et ouvrir des voies vers des technologies avancées comme la communication supraluminique ou l'extraction d'énergie du vide quantique. Ce "contre-espace" est en fait un champ scalaire.
Éric Dollard continue d'inspirer des communautés de chercheurs et d'ingénieurs curieux des possibilités inexploitées de l'électromagnétisme. Ses idées audacieuses et son engagement envers des approches non conventionnelles en font une figure influente dans le domaine de la science de pointe.
Antennes de type Lakhovsky avec la touche d'Éric Dollard, scientifique, ingénieur en électricité, spécialiste de Nikola Tesla et chercheur de pointe dans le domaine de l'électricité, de l'électromagnétisme, de la transmission sans fil d'énergie et bien plus (voir plus haut). Ci-dessus, une paire d'antennes Lakhovsky-Dollard, prêtes à fonctionner en mode scalaire, et qui seront alimentées par deux bobines de Tesla jumelles en opposition de phase. La géométrie du nombre d'or se retrouve dans ces antennes.
La lettre grecque phi, symbole du nombre d'or.
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Bobines de Tesla et champs scalaires
On abordera ici l'étude de deux systèmes à champs scalaires : d'abord les systèmes à bas voltage et ensuite les systèmes à haut voltage (avec photos et parfois vidéos à l'appui).
D'abord quelques mots sur les champs scalaires électriques, magnétiques ou électromagnétiques.
C'est surtout l'ingénieur Thomas Bearden qui a montré qu'un champ scalaire peut être facilement généré dans l'espace qui se trouve entre deux champs magnétiques ou électromagnétiques, lorsque ces champs magnétiques sont égaux en amplitude et en opposition : (N sur N ou S sur S) pour des aimants; ou égaux et en opposition de phase (180 degrés) pour des champs électromagnétiques d'amplitude égale. Bien qu'actuellement non reconnues par la science universitaire officielle, les propriétés de ces champs scalaires sont nombreuses. Il s'agit d'un champ d'énergie scalaire (non vectorielle) qui se trouve hors de notre espace-temps ordinaire, bien que proche de nous.
Ce ne sont pas des neutrinos, comme certains le croient et le prétendent. Les neutrinos ont une faible masse et voyagent donc un peu moins vite que la lumière (photons). Ces champs scalaires (non vectoriels) ne sont pas limités par les contraintes de notre espace-temps. C'est un peu comme avec les corrélations (intrications) quantiques qui, elles, opèrent dans un autre espace que le nôtre, bien que "proche" du nôtre. Certains chercheurs ont également trouvé des effets particuliers des champs scalaires sur les cellules vivantes, à condition de savoir, par l'étude et par la pratique, ce que l'on fait. Et cela reste à prouver par l'expérience. Comme toujours, certains marchands "du temple" exagèrent pour s'en mettre plein les poches ou pour se rendre intéressants, ou les deux. Encore une fois, comme en tout : prudence, étude, intelligence, connaissance et discernement.
Système scalaire résonant à bas voltage
Nicolas Tesla a produit plusieurs brevets sur la transmission d'énergie sans fil. Il s'agit d'un système de deux bobines avec chacune une antenne (généralement verticale) supportant une sphère métallique qui agit comme condensateur (accumulation de charges électriques). Les bobines que Tesla utilise dans ces brevets (brevet américain 649621, par exemple) sont des bobines circulaire spirales plates (pancake coils). Plusieurs pensent que le champ scalaire produit par ce système résonant est généré par la configuration en spirale plate de ces bobines. Il se trouve que ce n'est du tout pas le cas, l'expérience le prouve.
Comme cela est résumé dans le paragraphe précédent, un champ scalaire peut être généré par la rencontre de deux champs électromagnétiques égaux et en opposition de phase. C'est cette action qui fait ressortir le champ scalaire de son espace intérieur pour le projeter dans notre espace habituel (3D + 1). La forme plate de la bobine de Tesla n'a rien à voir avec cela, et n'importe qui peut le prouver par l'expérience (même si la bobine spirale de Tesla a des propriétés particulières, encore à préciser). Voici quelques photos du système scalaire que j'ai fabriqué, sans me ruiner, et qui fonctionne parfaitement. (Voir la photo 6 des ondes sinusoïdales en opposition de phase sur l'oscilloscope )
1. Ci-dessus, on voit les 2 bobines solénoides : le primaire en blanc, le secondaire en brun; ainsi que l'antenne verticale et la sphère capacitive. Le primaire et alimenté par une onde porteuse - ici f = 995kHz @ 4,5 Vpp (modulée ou non), et dont la fréquence doit créer une résonance avec le système récepteur.
2. Détail du système alimenté par le générateur de signal. On voit aussi deux LED qui permettent de vérifier que la fréquence atteint la résonance avec l'autre système (récepteur). Cet émetteur génère un champ électromagnétique qui, par résonance, est égal en amplitude et opposé (180 degrés) en phase avec le signal retourné par le récepteur situé ici à 6m50 de l'émetteur.
3. On voit ici le système en réception qui est identique au système émetteur, sauf la longueur de l'antenne qui est ajustée pour améliorer la résonance, à cause de l'environnement immédiat qui influence le système. Remarquez les diodes LED qui sont allumée: ce qui prouve qu'il y a transmission d'énergie dans l'espace, sans fil, simplement avec un retour de terre (ici le fil noir sur le tapis).
4. Détail de l'affichage du générateur de signal principal (onde porteuse). La fréquence de résonance est ici de 995 kHz, l'amplitude 4,5 Vpp. Dans cet exemple, l'onde porteuse sinusoïdale est modulée par un autre générateur de signal (externe). Voir la photo numéro 5.
5. Photo du générateur de signal principal (onde porteuse sinusoïdale) à gauche, et du générateur de signal pour moduler l'onde porteuse par une onde sinusoïdale en basses fréquences (jusqu'à 20 kHz environ). Ici, la porteuse est modulée par une série cyclique d'ondes sinusoïdales dont les fréquences, dans cet exemple, épousent la gamme de 64 Hz (soit 12 fréquences en tout). Nous reparlerons, dans le texte principal, de ces fréquences harmoniques.
6. Cette photo est une première : elle montre bien que des bobines plates spirales ne sont pas nécessaires pour générer un champ scalaire. Le système est en parfaite résonance. Les ondes (d'amplitudes égales) sont en opposition de phase. Les diodes du récepteur s'allument à la résonance. Le champ scalaire est généré entre les deux système (photo ci-dessous) qui, en fait, n'en forment qu'un. (Un double système RLC en parfaite résonance et en opposition de phase).
7. Dans cette salle, on voit les deux systèmes situés à environ 6m50 l'un de l'autre. On aperçoit, au centre, l'antenne réceptrice de mesure (blanche et verte), raccordée à l'oscilloscope (non visible, à droite de l'image). On devine le fil de terre sur le tapis qui raccorde les deux systèmes. Le champ scalaire est produit entre les deux systèmes qui, en fait, n'en forment qu'un. Les diodes le confirment et l'oscilloscope le reconfirme.
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